Château de Larra

L’accès au château depuis la route se fait actuellement par une double allée en forme de lyre qui ouvre sur la cour d’entrée par un portail. A l’origine, il s’agissait d’un immense rond-point, visible sur le cadastre napoléonien et repérable aujourd’hui en vision aérienne sur les cultures avoisinantes. Cet accès, de très grande envergure, a été considérablement réduit.


Le jardin est situé à l’est du château. Il témoigne d’une transformation au cours du 19ème siècle d’un jardin antérieur d’esprit classique. L’état actuel peut être analysé en fonction du plan conservé d’époque Romantique. La partie centrale de la composition est occupée par un parterre à l’anglaise d’une largeur égale à la façade orientale du château et qui occupe en longueur les deux-tiers du terrain. Ce parterre est cantonné par deux allées parallèles qui se rejoignent en équerre, donnant accès à une troisième allée. A l’époque Romantique, cette troisième allée partait en réalité du château et constituait l’axe principal du jardin. Elle comportait un axe transversal dessiné dans l’alignement de l’axe du parc (N.S.). Le carrefour de ces deux allées était matérialisé par un rond-point cantonné par les quatre fontaines encore en place aujourd’hui. Celles-ci ne jouant plus à présent leur rôle de carrefour, se trouvant placées de manière anachronique au milieu du grand parterre actuel.
La troisième allée, perpendiculaire à l’axe de la composition aboutit à un bassin octogonal aujourd’hui à sec, qui comporte en son centre un socle de brique de forme ovale, autrefois décoré de la statue en terre cuite d’une divinité marine.
Au-delà de ce bassin, un passage central toujours dégagé conduit jusqu’aux limites de la propriété. Il desservait, selon le plan du début du 19ème siècle, deux espaces distincts : le Labyrinthe de Buis et le Bois des Essences. Seules les limites parcellaires actuelles conservent la mémoire de ces aménagements aujourd’hui disparus.

La tradition familiale s’est toujours attachée à maintenir un verger et un potager de part et d’autre de cette composition. Ils en étaient séparés par une allée latérale bordée de buis, dont il subsiste quelques traces aujourd’hui côté nord contre la  » serre  » et une allée intacte côté sud, le long du verger. L’ancien puits en pierre visible sur le plan existe toujours, masqué par un bâtiment à deux absides utilisé comme séchoir. Le puits desservait le verger.
Le parc, de 50 ha environ, répond toujours au plan d’origine, confirmé par le document début du 19 ème siècle. Il est séparé du jardin par un muret percé de trois portails à piliers. Les piliers du portail central sont ornés de lions. Ceux des portails latéraux sont construits en biseau pour s’aligner sur la perspective des allées biaises.
La première partie du parc répond à un plan en étoile à partir d’un rond point central d’où rayonnent huit allées, l’ensemble s’inscrivant dans un carré. L’allée principale issue du jardin se prolonge vers le nord jusqu’à un rond point terminal en bordure du ruisseau : le Rieutort. C’est la seule allée bordée de buis. Les bosquets sont plantés de chênes (7 variétés). Des charmilles encore en place à la fin du 19 ème siècle ont disparu.


Le château de Larra est une maison de plaisance conçue pour être habitée l’été. Le plan est réalisé par Guillaume CAMMAS, architecte de la façade du capitole, sur l’exemple des villas italiennes à plan massé et symétrique. Le gros œuvre est établi de 1743 à 1746 sur l’emplacement d’une maison de style Louis XIII, détruite pour construire le château de Larra. La demeure est réalisée pour le compte de Jean-François TOURNIER de VAILLAC (1690-1748), président d’une chambre du parlement de Toulouse en 1721.

Jean-François de TOURNIER fils et petit fils de conseillers au parlement de Toulouse possédait déjà le domaine de LARRA (environ 200 hectares) mais il est difficile d’en déterminer la date d’acquisition d’une part, parce que tous les documents existant n’ont pas été dépouillés, d’autre part parce que ce fonds a été dispersé, certains même perdus ou brûlés en 1793. LARRA est donc d’autant plus difficile a cerner que les documents le concernant sont mélangés aux autres et que le terroir de LARRA étant inclus dans la communauté de GRENADE, la désignation des parcelles portée sur les anciens documents cadastraux n’est pas toujours précise. Ainsi, on trouve trace, sur le cadastre de 1642, de biens appartenant à Messire Bernard TOURNIER, conseiller du Roi et ancien officier du Parlement de TOULOUSE « au terroir de LARRA » : une maison, métairie, grange, étable, jardins de septante trois arpents. Les représentants successifs de cette famille occupèrent d’abord des postes de CAPITOULS de la ville de TOULOUSE puis des places de premier plan au Parlement de TOULOUSE Conseillers du Roy et payeurs des gages des officiers du Parlement pendant deux générations puis président à mortier. Cette charge fut assumée par celui qui peut apparaître comme le plus influent et le plus riche de la lignée : « Haut et puissant seigneur », Messire Jean-François de TOURNIER, Chevalier, Comte de VAILLAC, Baron de LAUNAC et de LOUBRESSAC, Vicomte de GIMOES, seigneur de MAUVAISIN, MEYRONNE et autres places, conseiller du Roy en ses conseils, Président à mortier en la souveraine cour du Parlement de TOULOUSE. C’est lui qui acquiert en 1734 la Baronnie de LAUNAC et les « terres de Caubiac, Garac, Pelleporcq et Galembrun ». Il épouse en 1730 Marie Eléonore de THEZAN de POUJOL, fille de Pons de THESAN, marquis de MONTAIGUT ( Sur Save) et leur contrat de mariage est signé dans le château de LARRA qu’il n’avait pas encore commencé de faire construire. Il décède en 1748 à TOULOUSE. On peut voir son portrait dans la salle à manger du château.

Son petit fils né en 1767, Raphaël, François, Auguste, Eléonore sera titulaire d’une charge de Conseiller au Parlement. Il résidera à PARIS à compter de Novembre 1791 et sera condamné à mort par le tribunal révolutionnaire et exécuté à PARIS le 18 messidor an II (6 Juillet 1794 en même temps que cinquante quatre autres parlementaires toulousains, vingt jours avant la chute de Robespierre).

Portrait de Raphaël.
Le château sera ensuite transmis en 1875 par Bathilde, Marie, Pierre de TOURNIER (1806-1875) à sa nièce Marie, Justine, Louise d’ANTIN (1840-1925) épouse de Fernand, Louis de CARRIERE ancien zouave pontifical.
Pendant quatre générations et aujourd’hui encore, les de CARRIÈRE habitent ce château. Madame de CARRIÈRE éprouvait toujours une profonde satisfaction à présenter aux visiteurs ce chef d’œuvre presque intact du XVIIIème siècle.

Parmi les tableaux exposés dans les pièces du château on peut signaler aussi :
– celui de Pierre de TOURNIER (1651 -1742?) Conseiller clerc au parlement de TOULOUSE, Syndic et député Général du clergé de France pour la province d’AUCH en 1692, prieur et seigneur de Clairvaux, chanoine et chantre de l’église d’AVRILLAC, fondateur de l’œuvre du Bon Pasteur à TOULOUSE.
– celui de Raphaël, François, Auguste, Eléonore de TOURNIER (guillotiné).
– celui de Pons, marie, Claude de TOURNIER- SOUCIRAC, né en 1770, frère cadet de Raphaël, réputé « émigré » puis amnistié, qui habitera le château et mourra à Toulouse sans descendance chez son frère Charles, Louis en 1832.
– celui de Marie- Eléonore de THEZAN de POUJOL, fille de Pons de THEZAN, comte de POUJOL.
– celui de Claudine, Adélaïde de BOISSET (1746-1782) belle fille de Jean-François, mère de Raphaël, Pons-Marie-Claude et Charles-Louis.
– celui de Rosalie de BELLOC (1779-1836) épouse de Charles-Louis.
En 1748, à la mort de Jean-François, les travaux intérieurs de décoration n’ont pas encore commencé. C’est son fils aîné : Pons, Jean-François qui hérite des biens et commande la décoration de Larra entre 1748 et 1787.
En 1763, il décide d’orner I’escalier conduisant au premier étage, par une rampe en fer forgé, répondant ainsi à l’engouement qui s’est manifesté tout au long du XVIIIème siècle pour ce genre d’ouvrage.

Pour cela, il fit appel au maître serrurier toulousain le plus connu et le plus réputé de l’époque : Bernard ORTET.
C’est en effet ORTET qui avait exécuté les balcons du Capitole, les croix (alors en place) devant les églises de Saint-Pierre des Cuisines et de Saint-Quentin. C’est ce même artiste qui en 1764 exécuta le Portail du grand consistoire (aujourd’hui disparu) et qui en 1766 réalisa les magnifiques grilles du sanctuaire de la cathédrale Saint-Etienne, à Toulouse. Ces grilles nous surprennent encore par leur taille mais aussi par la grâce et la variété des ornements en tôle estampée qui les décorent. Lors de la commande de la rampe de Larra, ORTET était le maître serrurier le plus prestigieux de la région. Les actuels propriétaires du château, possèdent le bail à besogne passé avec B. ORTET, daté du 5 février 1763 et signé par le maître serrurier, dans lequel il est stipulé  » Il a été convenu entre Monsieur de Tournier, Conte de Vaillac, et le sieur ORTET maître serrurier de cette ville, savoir que le dit ORTET s’oblige à faire une rampe en fer pour l’escalier du château de Larra…  » .
La baronne de Carrière possède aussi une facture datée de 1764, signée par ORTET, qui mentionne les frais de pose de la rampe. Il s’agit donc bien d’une réalisation du grand maître serrurier toulousain. La rampe borde un escalier de pierre à trois volées obliques et deux paliers de repos, qui conduit au premier étage. Elle se prolonge en bordure de I’immense palier du premier étage. Elle est composée de plusieurs panneaux rampants de même dessin et sur le palier, de panneaux dont les motifs sont différents. Les panneaux obliques sont occupés en leur centre par une palmette à trois lobes incurvés, dont la courbure varie de telle sorte que cette palmette asymétrique puisse s’inscrire dans un ovale. Au sommet de ce motif, un fleuron asymétrique fixe l’ensemble, tandis que des feuilles d’acanthe, petites et grandes, complètent le décor de la partie inférieure. Des arabesques en accolade, en  » C  » et en  » S  » assurent le remplissage.

De part et d’autre de ce motif se trouvent d’autres palmettes asymétriques. Elles sont composées par des épingles incurvées et des crosses. Une coquille rocaille en tôle, fixée sur une anse de panier, sert de base à ce décor. Ces panneaux rampants sont d’un grand intérêt si l’on considère l’ œuvre de Bernard Ortet. En effet, ce maître a exécuté en 1772 une rampe pour une maison sise rue du Barry-Neuf, à Lombez. Or, celle-ci montre au motif central des panneaux rampants semblables à ceux qui ornent la rampe du château de Larra. Cependant, les motifs de remplissage, de part et d’autre de la palmette, sont différents. Il en est de même pour les panneaux de débillardage. Ces similitudes intéressantes n’entament donc en aucune façon l’originalité de chacun de ces ouvrages. L’amortissement de la rampe est en forme de console inversée. Le centre d’une spirale à trois brins se partage en un pistil à graines, une feuille d’acanthe et le châssis. Il est orné par une rosace en tôle. On trouve des amortissements identiques dans le chœur de la cathédrale Saint-Étienne, à l’hôtel de Nupces et à l’hôtel de Puivert, ce, à Toulouse.


Sur le palier les motifs changent. Le panneau central présente un magnifique culot en tôle, très fortement découpé, dont les feuilles s’élèvent en se courbant. Cet ornement aux découpures élaborées est inscrit dans un médaillon tréflé dont les châssis doubles sont reliés par des fers en anse de panier tournés vers le bas. Ce motif central se trouve aussi à l’hôtel de Nupces, où la tôle formant le fleuron est moins fortement découpée. De part et d’autre, des arabesques assurent le remplissage. Certaines sont reliées par des  » haricots « . Les panneaux latéraux sont décorés d’une grande palmette formée d’épingles en éventail, doublées de crosses se faisant face. La base est ornée d’une étroite « coquille rocaille » en tôle estampée, identique à celles qui ornent la base des palmettes latérales des panneaux obliques. Des arabesques lient les différents éléments. Les pilastres présentent des fers en « S » et « C » ou accolade, placés sur un socle. Ils sont ornés par un fleuron, une petite coquille en tôle. Des pilastres semblables se retrouvent sur la rampe qui borde le palier, à l’hôtel de Nupces.
La rampe du château de Larra constitue un très bel exemple de style Louis XV, privilégiant les dessins linéaire plutôt que les ornements en tôle estampée. L’ensemble donne une impression de grâce et de fluidité.
Cette rampe représente un excellent exemple du style B. ORTET, ce avant 1770. En effet, à partir de cette date, plupart des œuvres du maître seront influencées par les tendances du style dit Louis XVI.
La rampe seule justifierait une visite du château, l’architecture et les éléments de la décoration apportent des motivations supplémentaires.


Ce qui frappe surtout à Larra, c’est l’aspect du bâtiment. Carré, il se compose de quatre façades identiques surmontées d’un belvédère. Celui-ci, bien que défiguré par des travaux contemporains, reste néanmoins un élément d’origine. Toutes les façades s’organisent autour d’un avant-corps central peu saillant surmonté d’un fronton. L’avant-corps, de même que les angles des façades, est marqué par des chaînages formés de briques placées alternativement en saillie et en retrait de manière à imiter les chaînages de pierre en carreaux et boutisses. Les avant-corps comptent six baies en arc plein cintre ( trois portes-fenêtres au rez-de-chaussée et trois fenêtres au premier étage), alors que de chaque côté se trouvent six fenêtres en anse de panier. Les façades ne comportent aucune décoration. Elles peuvent être rattachées au Style Louis XV qui se caractérise en architecture par une absence d’ordres monumentaux, une très grande sobriété dans la décoration, et des avant-corps peu saillants ou de formes rondes ou polygonales.

De par ses proportions (les façades font seulement 25 mètres de côté), le terme de château parait usurpé pour Larra. On doit plutôt rattacher ce bâtiment à la mode des villas de plaisance qui sévit durant tout le XVIIIème. Ces maisons de plaisance sont en général de dimensions assez modestes et sont construites à la périphérie des grande villes de manière à pouvoir y faire de fréquents et courts séjours. Elles ont en général été commandées par des financiers ou par des parlementaires du XVIIIème siècle (on en trouve un certain nombre autour de Montpellier ou de Bordeaux par exemple).
Du fait de la forme même du bâtiment , le plan adopté à l’intérieur est le plan massé. L’architecte a ménagé neuf carrés intérieurs d’égale grandeur en faisant se croiser les quatre murs de refend. La cage d’escalier est située au centre de cette composition .Le plan du rez-de-chaussée est repris au premier étage. Ce plan simple permet de ménager un grand nombre d’axes de communication sans avoir recours aux pièces en enfilade comme au XVIIème siècle.
Les pièces de réception s’ouvrent toutes par trois baies dans les avant-corps des façades. Le vestibule s’ouvre au rez-de-chaussée dans l’avant-corps sud vers la cour d’arrivée. Immédiatement au dessus de lui se trouve le petit salon. La salle à manger est ouverte au rez-de-chaussée sur la cour des communs à l’ouest. Quant au grand salon du rez-de-chaussée, il s’ouvre à l’est sur le jardin. Au dessus de lui se trouve la bibliothèque qui regarde aussi à l’est.
C’est dans les pièces d’angle du château que se regroupent les différentes chambres. Celles-ci ont toutes conservées leur disposition d’origine qui en font de véritables petits appartements. Elles sont toutes composées d’une chambre principale, d’une pièce secondaire, d’un cabinet de toilette surmonté d’un entresol. Cette disposition reflète la théorie architecturale du XVIIIème où pour la première fois les architectes se soucièrent des questions de confort et d’hygiène.
Beauté des façades, ingéniosité du plan, le château de Larra frappe aussi par son décor intérieur puisque les pièces principales ont conservé leur caractère décoratif d’origine.

Le stuc est omniprésent. De style Louis XV, il règne dans toutes les pièces, se combinant avec des cheminées ou des fontaines en marbre de même style. Les fontaines intérieures, au nombre de deux dans la salle à manger, sont disposées dans des niches sur le mur sud, en face d’une cheminée de marbre rouge et noir de Caunes. La niche est décorée d’une coquille renversée en stuc et des moulures sculptées en méplat bordent les contours en marbre de la cuvette. Enfin,la tête humaine déversant l’eau représente une divinité marine.
Les stucs sont peints de couleurs vives qui rehaussent leur dessin vif et gracieux. Tout en courbes et contre courbes, il s’y développe un programme décoratif de genre rocaille avec réseau de feuilles d’acanthe, de coquilles et de guirlandes de fleurs. Réalisés entre 1754 et 1756, ils sont l’œuvre de Jean LOUBEAU, un sculpteur toulousain du XVIIIème siècle.
Le grand salon du rez-de-chaussée est surtout intéressant pour les toiles ornant ses murs. Elles se composent de cinq dessus de porte et de deux grandes toiles peintes. L’artiste est inconnu mais les thèmes dont il s’est inspiré sont le reflet de l’art français. Les dessus de porte sont inspirés ou copiés sur des œuvres de François Boucher : les amours pastorales, le sommeil interrompu, le pasteur galant, la toilette pastorale. Les deux grandes toiles peintes occupent l’espace sur les murs sud et ouest de la pièce. La première représente une partie de colin-maillard copiée sur 1’œuvre du même nom de Nicolas Lancret (élève de WATTEAU). La deuxième, copie pour sa part, une toile disparue de Watteau intitulée : la musette. Toutes ces toiles, malgré leur date tardive d’exécution, présentent les caractères iconographiques de la peinture française de la première moitié du XVIIIème siècle : scènes galantes et thème de la fête galante chère à l’esprit Louis XV.

Les abords du château ont par contre été assez modifiés. Il ne reste rien du jardin et du parc à la française d’origine. On peut juste admirer quatre fontaines octogonales surmontées de motifs en terre cuite représentant des divinités marines ou des corbeilles de fruits. Dans la cour d’arrivée, le grand bâtiment situé à gauche est l’ancienne orangerie transformée par la suite en chapelle. On distingue encore quelques traces de décorations peintes sur sa façade: elles représentent un grand ordre de pilastres doriques reliés entre eux par des guirlandes.
Quant aux communs, ils ont été entièrement défigurés par des bâtiments agricoles contemporains. On peut néanmoins encore admirer un beau pigeonnier octogonal en brique assez typique de la région toulousaine.


L’intérêt du château de Larra réside donc dans son unité de style à la fois décorative et architecturale. Son étude ou sa visite permettent d’avoir une vision assez complète de l’activité artistique dans la région toulousaine au XVIIIème siècle.

Extraits de  « Larra, un terroir en vallée de Save »

Michel Hastenteufel

 

 

 

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